Parker T.2“Parker était entré à l'hôpital avec un visage où le Syndicat de New York voulait mettre une balle, et il en sortit avec une tête qui ne dirait rien à personne. Du bon boulot. Payé à l'avance, bien sûr. Le visage lui avait coûté presque dix-huit mille, ce qui lui laissait à peu près neuf mille pour tenir, le temps de se remettre sur les bons rails. Il avait besoin d'un boulot. Il avait écrit à Joe Sheer quelque temps plus tôt pour voir si rien n'était dans l'air.” Le truand Parker doit donc se remettre au travail, mais dans son boulot, il ne faut jamais baisser la garde, toujours être méfiant. Toujours. |
| | Parker T.1Trahi par son associé et son ex – celle qu'il aurait pu aimer s'il avait été capable de sentiments –, Parker débarque à New York. Il a traversé les États-Unis mû par un seul désir : se venger. Son plan est simple : avoir la peau de ceux qui l'ont doublé et récupérer sa part du magot. Pour cela, il est prêt à tout, sans scrupule ni remords ni émotions. Rien, pas même la mafia, ne pourra le faire reculer. Parker est effrayant, parce que c'est un truand de la pire espèce : froid, violent, méthodique et efficace. Et Parker est très en colère... |
| | Parker - intégraleParker est le prototype du dur à cuir sans états d'âmes, brutal, froid et violent, qui n'éprouve que très rarement le moindre sentiment. |
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